L'humoriste Manon Lepomme chez le psy - Stéphanie Bocart 

Manon Lepomme se raconte dans une interview de Stéphanie Bocart ! 

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HUMOUR - Manon Lepomme : Aucun psy n'en voudrait !  - 18 avril 2018 

J-M Ghéraille 

Mais où va-t-elle puiser toute cette énergie ? Peut-être dans le merveilleux, spécialité pâtisserière, qu'elle enfourne à chaque spectacle. 

« Non, je n'irais pas chez le psy », Manon Lepomme continue à le trimballer partout en Belgique mais aussi en France et en Suisse. Un one woman show qui a déjà bien évolué par rapport à sa version initiale. Après avoir pris de la bouteille et avoir séduit les Français lors de l'exigeant festival off d'Avignon, la Liégeoise (si, si, cela s'entend parfois encore un peu...) s'est emmené, bousculé, évidemment faire rire, taquiné un public qui lui rend bien.

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Reportage sur le Festival d'humour de Saint-Gervais, Manon interviewée ! 

!! Voyez ici son passage !! 

Manon était l'invité CULTURE sur WEO TV ce 14 mars ! 
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Ce 7 mars, Manon était l'invitée de Grand Littoral TV.

Son interview ICI 

Manon Lepomme ne compte pas pour des prunes !

Le Merveilleux pays de Frédéric Vaucamps

A Lille, cet obsessionnel du gâteau meringué attire les gourmands du monde entier.
On était partie pour voir un one-woman show. Or, seule, elle ne l’était pas réellement : cet hiver, sur la petite scène du Point-Virgule, à Paris, la jeune humoriste belge Manon Lepomme partageait la vedette avec une pâtisserie, symbole de l’ultime tentation à laquelle la gourmande trentenaire ne sait résister.

Ainsi, exhibé sur un tabouret à ses côtés, trônait crânement un «merveilleux», mystérieux dôme recouvert d’alléchants copeaux de chocolat noir. «J’ai choisi ce dessert pour des raisons scéniques, d’abord : c’est une belle pâtisserie, qui fait envie»,explique-t-elle de son accent belge marqué. Sous les éclats de chocolat se dessine une crème, elle aussi légèrement chocolatée. Et, divine surprise au moment de croquer : sous ce doux manteau se cachent deux meringues, alliance fatale de l’onctueux et d’un croquant aérien. «On ne va pas se mentir, j’ai aussi choisi le merveilleux parce que c’est un régal, et qu’en Belgique, d’où je viens, tout le monde le connaît», poursuit l’intarissable humoriste, lancée dans une ode à cet «instant suspendu»rappelant les goûters de son enfance. Et on peut dire que Manon Lepomme s’y connaît : depuis qu’elle a commencé à jouer son spectacle Non, je n’irai pas chez le psy ! en octobre 2016, l’indécrottable fine bouche a englouti sur scène pas moins de 180 spécimens du convoité délice. «Non seulement je n’en suis jamais écœurée, rit-elle, mais en plus, je pourrais réaliser une cartographie des meilleurs merveilleux de France et de Belgique.» Chiche ? Et d’ailleurs, qui du Nord de la France ou de la Belgique peut se targuer de l’avoir inventé ? Consultés, deux historiens de la gastronomie, un Belge et un Français, n’ont su trancher, faute d’avoir étudié le sujet. Alors, il faudra nous contenter de percer d’autres mystères du bien nommé dessert.
 
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Manon Lepomme n'ira pas chez le psy mais il ira au Moustier ! 

5 questions à l'humoriste belge ! 

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Manon Lepomme, invitée de Jour Première en tant que tête d'affiche. 

Podcast ici 

 

 

Non, je n’irai pas chez le psy ! Avec ce seul en scène décapant et très personnel, Manon Lepomme triomphe à Paris, en Suisse et en Belgique avec un spectacle à la fois intelligent et incisif qui n’a pas fini de séduire un public cosmopolite.

 

Paris Match : Le théâtre, est-ce une vocation ?
Manon Lepomme :
 En tout cas, j’y pense depuis toujours.(...)

Le seul en scène est-il un exercice difficile ?
Pour le moment ça ne me fait pas peur. (...)

Vous avez joué en France, en Suisse et en Belgique. L’accueil est-il différent selon les régions ?
Tous les publics sont différents, mais le public français n’est effectivement pas le même. (...)

Vous avez le trac quand vous montez sur scène ?
Toujours ! J’ai eu un trou de mémoire au Point Virgule alors que le spectacle était bien rodé. J’en ai joué et on n’y a vu que du feu.

C’est quand il y a un moment difficile qu’on se rend compte qu’on est faite pour ce métier ?
Peut-être ! en tout cas, je sais que c’est mon élément et que (...)

Mais bien sûr ! Même s’il y a des sujets que je n’aborde pas dans mon spectacle. Je ne parle par exemple pas de politique, même si j’ai fait sciences-Po et que je suis éveillée à la chose.
www.manon-lepomme.be

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